Tenet

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En plus de nous faire voir du pays en envoyant ses héros à Londres, Bombay, Oslo, mais aussi en Italie, Slovénie et Sibérie, le cinéaste anglais fan de James Bond s'amuse à nous balader dans un thriller d'espionnage haletant entre plusieurs temporalités.

Tenet est aussi un hommage aux films d'espionnage à la James Bond, et une réflexion métaphysique sur le temps, une obsession du réalisateur, Christopher Nolan. Tout ça emballé dans 2h30 époustouflantes.

Pour résumer, Tenet est un cru complexe. Pas évident, sous le déluge visuel et emporté par un flux d'explications tantôt pointues tantôt elliptiques, de digérer immédiatement la nouvelle proposition du génial Nolan. Tenet fait partie de ces films où le deuxième visionnage s'impose de toute évidence pour capter toutes les subtilités. Et savourer, une nouvelle fois, ce qui reste sans doute l'un des films à déguster cet été (même s'il y en a peu, il est vrai.)

Ein ehemaliger CIA-Agent (John David Washington) auf Weltrettungs-Mission. Wildes Jetsetting zu dramatisch-pittoresken Locations, komplexe Einbrüche, Verfolgungsjagden, Kommandooperationen, dazu ein russischer Fiesoligarch (Kenneth Branagh) mit Superyacht und gefangener Superfrau. Zunächst einmal zeigt Christopher Nolan hier, dass er auch einen Bond oder "Mission Impossible" tiefenentspannt aus dem Ärmel schütteln würde. Zusätzlich aber gibt es "invertierte Materie", die sich rückwärts durch die Zeit bewegt. Erklärungsversuche sind (auch im Film selbst) sinnlos, aber für grandiose Action-Ballette in wilder Traumlogik ist dieser Einfall allemal gut.